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Anne Roumanoff et sa popularité
Depuis plus de trente ans, Anne Roumanoff fait partie des humoristes les plus appréciés en France. Elle est aux côtés de Florence Foresti, Jean-Marie Bigard et Gad Elmaleh parmi ceux qui remplissent le plus les salles de spectacle et enchaînent les représentations à travers le pays. Actuellement en tournée dans toute la France avec son nouveau spectacle intitulé "L'expérience de la vie", elle se produit également dans quatre salles parisiennes. Par ailleurs, elle se lance dans son premier long-métrage intitulé "Qu'est-ce qu'on va faire de toi maman ?", qui a une portée autobiographique. À 58 ans, cette artiste accomplie continue d'exercer son métier avec passion et de fidéliser ses fans.
Les difficultés d'Anne Roumanoff avec les selfies
Toutefois, lors de son interview avec Jade et Éric Dussart dans l'émission "On refait la télé" le 27 janvier, Anne Roumanoff a révélé avoir du mal à se montrer aimable avec ses fans. L'épreuve des selfies imposée à chaque spectacle est particulièrement difficile pour elle, bien qu'elle ne puisse pas y échapper. Sur RTL, elle a expliqué détester se faire toucher et considère les selfies comme une véritable horreur : "Après les spectacles, je signe des autographes, je me rends dans le hall (...) et ensuite, je prends des selfies (...) mais je déteste qu'on me touche pendant les selfies. Ce n'est pas méchant, mais les gens me passent la main dans le dos !" s'est-elle indignée.
Une sensibilité exacerbée
Anne Roumanoff a expliqué les raisons de cette distance qu'elle s'impose vis-à-vis des contacts physiques : l'humoriste est en réalité hypersensible et ressent les maladies et les troubles des personnes lorsqu'elles la touchent. "Je ressens les vibrations des gens, tant sur le plan psychique que physique. Si je vois quelqu'un malade, cela peut me causer une douleur au bras, ça va jusque-là ! Donc lorsque quelqu'un me touche et que je n'en ai pas envie, je le ressens et je lui dis : Ne me touchez pas (...) Je n'aime pas qu'on me touche, c'est comme ça. Ce n'est pas que je n'aime pas le contact physique, j'apprécie beaucoup dans certaines circonstances. Mais quand quelqu'un que je n'ai pas choisi me touche... Et surtout quand on me passe la main dans le dos, derrière moi (...) je ressens des sentiments très intenses. Je ne suis pas non plus très encline aux embrassades, donc j'étais très contente pendant le covid", a-t-elle expliqué.
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