Le nouveau président argentin, Javier Milei, a promis un choc d’austérité dès son discours d’investiture : réduisant drastiquement le nombre de ministres de son gouvernement, il souhaite réduire des dépenses publiques de 5% du PIB. Ultra-libéral et libertarien, il souhaite sortir l’Argentine de la crise qu’elle traverse, malgré un impact négatif de ses mesures sur « le niveau d'activité, l'emploi, les salaires réels et le nombre de pauvres. »