Le porte-parole du syndicat de police Unité SGP Ile de France, Reda Belhaj, à propos de l'intervention policière pendant l'attentat du pont de Bir-Hakeim : «Il y a un avant et un après Nahell : aujourd’hui, un policier a peur de sortir de son arme, parce qu’il risque d’être attaqué, soit par les politiques, soit par certaines personnes de la société, parce qu’il a fait usage de son arme de service».