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Gilles Verdez harcelé dans la rue : les inconvénients de l'exposition médiatique
Gilles Verdez, chroniqueur de Touche pas à mon poste sur C8, est confronté à une réalité difficile : le harcèlement dans la rue de la part de ses détracteurs. Malgré le soutien dont il bénéficie sur le plateau de l'émission, il témoigne de l'agressivité croissante dont il est victime.
Interpellations dans la rue : les conséquences de l'opinion tranchée
En tant que chroniqueur, Gilles Verdez n'hésite pas à exprimer ses opinions fortes sur des sujets délicats. Bien qu'il assume ses prises de position, il semble désormais subir de plus en plus d'attaques de la part de ses détracteurs.
Une exposition médiatique qui peut avoir des conséquences indésirables
Interrogé par Cyril Hanouna sur les problèmes liés à sa notoriété, Gilles Verdez confie : "Je ne me prends pas pour un autre, je n'ai aucune prétention, mais il est assez rare que des gens m'interpèllent dans la rue".
Une agressivité nouvelle qui dérange
Il ajoute : "Il y a des gens qui écoutent toutes les émissions, qui me font des remarques sur telle ou telle déclaration. C'est incroyable".
Une situation qui préoccupe Gilles Verdez
"C'est génial !" le coupe alors Cyril Hanouna. Moins enthousiaste, Gilles Verdez nuance : "Cyril, je ne me plains pas du tout. Je dis que c'est génial, mais il y a parfois une certaine agressivité que je n'avais jamais connue auparavant, je le dis avec humilité."
L'agressivité révélée dans la rue
Invité par Cyril Hanouna à fournir plus de détails, Gilles Verdez s'exécute : "Par exemple, en ce moment, je sors avec une capuche, un masque, et ainsi de suite. Je ne faisais pas cela avant !". Il précise : "Des gens, au Châtelet, m'ont accosté ! Ils me criaient dessus, car ils n'étaient pas d'accord avec mes propos. Ils n'étaient pas toujours en accord avec l'émission. Et le ton était différent de d'habitude".
Une agressivité nouvelle envers le chroniqueur
Habituellement habitué aux critiques, Gilles Verdez explique que "on peut me critiquer, sur les réseaux sociaux, partout, car je ne dis que des choses qui m'engagent personnellement. Mais là, il y avait une agressivité. En ce moment, je ressens une certaine agressivité, voilà !"
Une vigilance accrue face à la situation
Il ajoute que cela lui arrive "plusieurs fois" en ce moment. On lui a conseillé de se "protéger dans les transports en commun, ce que je ne faisais pas avant". "Et je
