Les activistes corses réclament l'autonomie et revendiquent une vingtaine d'attentats.
Dans la nuit du 8 au 9 octobre,
une série d'attentat a agité la Corse.
Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) revendique ces actions au nom de l'indépendance corse.
Dans un communiqué d'une page, transmis au journal Corse matin, les activistes ne pas avoir "de destin commun avec la France".
Alors que les armes avaient été déposées par les nationalistes en 2016, un nouveau vent d'autonomie
semble souffler sur l'île de Beauté.
Alors qu'Emmanuel Macron affirme que "la Corse est enracinée dans la France et dans la République".
le Président du Conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, indique "une volonté de construire, dans le dialogue avec l'État et au sein de la République française, le présent et l'avenir".
Le 1er août, les activistes du FLNC avait transmis un communiqué équivoque à la rédaction de Corse matin.
Aucun accord entre la Corse et la France ne pourra être qualifié d'historique tant qu'il n'entérinera pas la reconnaissance des droits du peuple corse sur sa terre, FLNC, via communiqué
