Le directeur de la rédaction de Jeune Afrique revient sur la suspension de JA au Burkina Faso : « Un interdit de plus qui s’ajoute à l’interdiction de se rendre dans les zones de conflit, de rendre compte de façon indépendante des opérations de l’armée ou, dans le cas du Mali, de celles que mènent le groupe Wagner… Entre le marteau des groupes terroristes et l’enclume des militaires au pouvoir, c’est la liberté de l’information qui, peu à peu, disparaît au Sahel, en dépit du courage de beaucoup de nos consœurs et confrères sur place. »
Retrouvez la Semaine de JA chaque semaine sur RFI.
Pour plus d’informations : https://www.jeuneafrique.com/