Algérie: Le Sahara entre l'Algérie et le Maroc, Amine Gouiri enfin choisi

2023-09-27 2

Passe d'armes à l'ONU entre le Maroc et l'Algérie sur le Sahara..
Nouveau visage du football algérien : Amine Gouiri rejoint les rangs des Fennecs
Une réalisatrice française dénonce le détournement d’un financement algérien pour son film
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Le Maroc est dans son Sahara et le restera jusqu'à la fin des temps"

Dans un discours prononcé mardi à l'Assemblée générale des Nations unies, l'ambassadeur du Maroc, Omar Hilale, a souligné l'engagement de son pays à trouver une solution politique à la question du Sahara. Omar Hilale a souligné que la résolution du différend régional sur le Sahara marocain devait être "politique, réaliste, pratique et basée sur un consensus". Il a ainsi appelé à l'implication de toutes les parties, notamment de l'Algérie, dans ce processus.

L'ambassadeur Hilale a rappelé que plus de 100 pays soutenaient déjà l'initiative, et que plus de 30 pays et organisations régionales avaient annoncé l'ouverture de consulats à Laâyoune et Dakhla afin d'affirmer leur soutien à la "marocanité" du Sahara. Israël, lui, reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara le 17 juillet dernier.
Utilisant son droit de réponse après le discours de son homologue marocain, l'ambassadeur algérien Amar Bendjama l'a notamment accusé d'avoir "déformé" les propos de son président Abdelmadjid Tebboune, qui, la semaine dernière a réaffirmé son soutien à l'organisation d'un référendum d'autodétermination.
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Viviane Candas, réalisatrice, scénariste et écrivaine française monte au créneau. Cette fille du militant anticolonialiste et avocat du FLN durant la guerre de Libération Yves Mathieu, dénonce le blocage du tournage en Algérie « L’esclave devenu roi », film dont elle a signé le scénario avec Jean-Claude Carrière (décédé en 2021).

En cause : le « détournement » de la première tranche du financement de ce film, accordé en 2018 par le FDATIC, par le producteur de Djinn Production, Khalid Djilali.

Dans un entretien à TSA, la scénariste dénonce l’acharnement dont elle est victime de la part de ce producteur dont elle révèle le nom pour la première fois dans un média et qui, dit-elle, s’est « volatilisé dans la nature » avec l’argent devant servir au tournage de la première tranche du film soit 17,4 millions de dinars (100.000 euros).

Viviane Candas dénonce le détournement d’un financement algérien pour son film

Les faits remontent à 2018 comme le rapporte la réalisatrice. « En décembre 2018, le ministère de la Culture a accordé à ce projet une subvention de 60 millions de dinars algériens, l’équivalent de 410.000 euros. Le scénario a été adapté à ce projet mais de nombreux avatars ont repoussé le début du tournage (hirak, pandémie du Covid…). En mars 2019, Djinn production, représentée par Khalid Djilali, signe avec le CADC (le Centre algérien de développement du cinéma) un contrat de producteur délégué à parts majoritair

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