Premier tome de la série « La cour des miracles », « La chambre mortuaire » (10-18) nous plonge dans un Paris du XIXè siècle terrorisé par une série de meurtres inexpliqués. C’est à ce moment-là que la jeune Anglaise Sarah Englewood commence à travailler comme gouvernante pour le Dr Simon Bloomberg, un « aliéniste » (psychiatre de l’époque) au comportement plus qu’étrange…
Pourquoi le docteur reçoit-il ses patients chez lui ? Que sont ces objets que sa femme égyptologue collectionne et répand dans toute la maison ? Autant de questions que se posent les gens de son entourage et qui ne font qu’épaissir le mystère autour de ce personnage ambigu.
Jean-Luc Bizien nous explique la naissance de ce roman et le choix de son sujet, et les hommages qu’il a voulu rendre au travers de ses héros.
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