Charlotte d’Ornellas, journaliste, au sujet de la mort de Tristan, victime collatérale d’un refus d’obtempérer : «C’est malheureux, mais il faut que la victime soit complément innocente pour que personne ne s’émeuve. […] Puisque l’émotion est moins forte, il nous est plus difficile de réfléchir à cette situation et de comprendre qu’elle est la règle qui été imposée aux policiers face aux refus d’obtempérer».