Le ton a changé. Les questions sont plus incisives et la compassion a laissé place à l’extrême fermeté, près de deux semaines après la disparition d'Émile. Une vingtaine d’enquêteurs de la section de recherches de Marseille travaille toujours de manière ininterrompue, souvent dans les locaux de la gendarmerie de Seyne-les-Alpes.