En Charente, la ville d’Angoulême interdit de rester assis, allongé ou même debout sous peine d’une amende de 35 euros. Un arrêté étonnant pris par la municipalité la semaine dernière afin d'interdire les regroupements. Le maire vise principalement les marginaux qui ont investi la ville et procède à du harcèlement, notamment sur les femmes. La Ligue des droits de l'Homme a déposé un recours devant le tribunal administratif de Poitiers.