Les Nations unies, mettent en garde contre des, "crimes contre l'humanité"
au Soudan.
Les Nations unies ont mis en garde contre l'escalade des attaques au Soudan qui pourrait être considérée comme un "crime contre l'humanité", alors que plus de 2 millions de personnes ont déjà été déplacées.
Le 14 juin, les combats se sont poursuivis
dans certaines parties de la capitale, Khartoum,
et dans la région occidentale du Darfour. .
Selon le syndicat des médecins du Soudan, au moins 959 civils ont été tués et 4750 autres
ont été blessés.
Plus de 1,6 million de personnes ont été forcées de quitter leur foyer, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Selon la matrice de suivi des déplacements de l'OIM, les 18 provinces qui composent le Soudan ont connu des déplacements.
Khartoum est en tête de liste, représentant environ 65% de toutes les personnes soudanaises déplacées par la guerre, tandis que le Darfour occidental en compte 17%. .
ABC rapporte qu'Alice Wairimu Nderitu, conseillère spéciale des Nations unies pour la prévention des génocides, a condamné l'attentat à la bombe. .
M. Nderitu a également prévenu que les combats
en cours s'apparentaient à des viols, meurtres et épuration ethnique, ce qui équivaut à des
"crimes contre l'humanité"