Est-il devenu plus délicat de demander à un patient de se déshabiller pour l’examiner ? Et de l’examiner tout court ? Le toucher du corps est devenu un sujet sensible, après notamment les polémiques sur certains gestes réalisés sans l’aval ou de manière trop directe. Signe que la question se pose, le conseil national d’éthique s’est emparé du sujet. Il recommande de passer d’un consentement "tacite" à "explicite".