Le gouvernement a annoncé vendredi le lancement d'un centre "d'analyse et de lutte contre les violences faites aux élus" après la démission du maire de Saint-Brevin, qui avait pourtant bénéficié d'une "protection spécifique". Les faits de violence physique ou verbale contre les élus ont augmenté de 32% en 2022, selon le ministère de l'Intérieur.