Le parquet de Grenoble a indiqué avoir ouvert une enquête pour outrage à personne dépositaire de l’autorité publique après la diffusion d’images montrant des manifestants brûlant un mannequin à l’effigie d’Emmanuel Macron. Ce mannequin a d’abord été attaché à arbre, puis frappé de coups de bâton avant d’être brûlé par des
manifestants qui s’étaient rassemblés lundi à Grenoble. Des faits passibles d’une peine d’emprisonnement d’un an et de 15.000 € d’amende.