La journaliste, Véronique Jacquier, au sujet de l'affaire Pierre Palmade : «Je me demande s'il ne faut pas criminaliser la conduite sous l'emprise de stupéfiants ou d'alcool [...] Cette sordide affaire permet peut-être une prise de conscience nationale [...] Il y a quand même une sorte de tolérance et de relativisme face aux addictions».