Grâce aux réseaux sociaux, il est plus facile de se procurer de la drogue aujourd'hui. Et les jeunes, particulièrement ciblés par ce phénomène, y sont encouragés à consommer des stupéfiants.
Oubliez les menus peint sur les murs de hall d'immeuble désaffectés, le trafic de drogue se dématérialise, il «s'uberise» diront certains. Passant par des messagerie cryptées comme Whatsapp où Snapchat, les dealers veulent minimiser les risques, sans tirer un trait sur leurs bénéfices. Un phénomène que les autorités peinent à endiguer, d'autant qu'une grosse partie des transactions s'effectue via le darknet, un internet caché, garantissant l'anonymat des utilisateurs. Contrairement à ce que les trafiquants pourraient croire, l'utilisation des reseaux sociaux ne leur offre aucunement l'impunité. Au contraire, l'incitation à l’usage de stupéfiants par des vidéos par exemple est puni de 5 ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende.