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Bart de Wever, président de la Neoflamande Alliance , à Anvers , 25 janvier 2023. Tom Goyvaerts / Belga via AFP Pas "révolution", pas "scénario catalan", pas d'alliance avec séparatiste à l'extrême droite, mais "une réforme extralégale": dans une interview livrée samedi 28 janvier au quotidien économique Tijd, Bart Wever, président l'Alliance Néoflamande, a déclaré sa nouvelle perspective pour l'autonomie sa région, dans cadre la "Confédération" belge qu'il aimerait établir. Une année d'élections générales présentées, encore une fois, comme cruciale pour l'avenir du Royaume, le but de celui qui est aussi le maire de l'Anvers intrigues. M. De Wever pense maintenant que "l'opportunité de réformer légalement [le pays] est passée" et que Flandre - la région a mené depuis 2014 par son parti - doit, si elle veut être définitivement libre des "blocages" de Belgique fédérale,Acquérir maximum Autonomie. De quelle manière? Ce n'est plus, il prophétise, celui des réformes institutionnelles, dont six épisodes ont marqué l'histoire du pays pendant plus de cinquante ans, mais "en dehors de la loi". Plus de questions, par conséquent, d'une négociation traditionnelle et très longue entre les deux principales communautés pour le partage supplémentaire des compétences de l'État central. Une telle discussion doit toujours être ratifiée par un vote des deux tiers des députés et collecter une majorité dans chacunGroupe linguistique de l'Assemblée. Une réforme doit également être précédée par l'approbation d'une liste d'articles dans la Constitution à réviser. Recherchez des solutions Confronté à tant de serrures, et bien que son parti soit impatient sans pouvoir peser sur la situation, car il n'est pas membre de la coalition fédérale, M. De Wever recherche des solutions. Il est inspiré par quelques faits anciens:L'établissement du suffrage masculin universel, 1919, la «flaquette» de l'Université de Gand, en 1923, ou l'adhésion à la communauté économique européenne, 1957. La Constitution n'a pas adapté qu'après ces différentes décisions, pas auparavant. Lisez aussi: Article réservé à en Belgique, Bart de Wever relance son projet séparatiste Évoquant également des discussions qu'il aurait eues avec le ministre de l'ancien primÉducation à la fin des années 1980. "Je ne pense pas que rien ne puisse encore fonctionner dans un contexte belge", a déclaré Wever, le sens du statu quo, selon lui, "la perte" de l'argent flamand. "Dans mon esprit, c'est une certitude évangélique, en Belgique, c'estAu-dessus, "ajoute le maire d'Anvers, croyant que seuls deux autres pays européens étaient comparables à la sienne:" La Tchécoslovaquie et la Yougoslavie. La première scission, la seconde a éclaté après une guerre sanglante. Vous avez 39,74% .
