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Dans le cadre du mouvement contre la réforme des pensions, la grande majorité des attaquants sacrifient une journée salariale à chaque jour d'action. Les autres préfèrent mettre un RTT pour préserver leur pouvoir d'achat. Mais seulement ceux qui sont réquisitionnés pour fournir un service minimum sont tous deux considérés comme frappants et rémunérés. Le principe de base est simple.Lorsque nous allons en grève, on sacrifie une partie de son salaire pour ses condamnations. "Dans public comme dans le secteur privé, un jour indésirable n'est pas payé", résume président départemental de la CFTC, LaurentFourcade. Par exemple, lorsqu'il a été jour de grève, un enseignant qui gagne 2 000 euros par mois perd 30e de son salaire mensuel, soit environ 67 euros. Dans le secteur privé, la déduction doit être strictement proportionnelle à la durée d'interruptionde travail. Les grévistes peuvent cependant être payés dans certains cas particuliers. "Ils l'être s'ils sont réquisitionnés et forcés travailler comme peuvent être cas à l'hôpital", a déclaré Laurent Fourcade.Un autre scénario: Pendant les mouvements renouvelables, le paiement d'une partie de la grèveLes jours être négociés dans cadre du protocole fin des conflits. "Mais cela se fait principalement dans secteur privé", a déclaré Laurent Fourcade.Dans le public, je ne l'ai jamais vu.«Enfin, un employé frappant peut recevoir son salaire si mouvement est né d'une violation grave et délibérée de l'employeur à ses obligations. Pour sa part, le secrétaire départemental de Fo, Jérôme Capdevielle, observe de nouvelles stratégies d'employés qui souhaitent se mobiliser sans perdre des salaires. "Certains posent par exemple une journée de RTT, explique-t-il. D'autres jouent également sur les plages variables de leurs horaires àêtre présent dans les événements. Aujourd'hui, la mobilisation sociale est multiforme. "Le phénomène réduit le niveau des attaquants, qui reste un élément fondamental pour évaluer le succès d'une mobilisation. Mais permet également de ragail la procession des manifestants. Un prêt pourun rendu.
