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BROSSARD - Cette saison, dans la LNH, il y a des Bruins de Boston et ... les autres équipes. Le Canadien sait qu'il devra attacher sa tuque pour la visite qui se déroule mardi soir au Bell Center. Cela a été de la lande, et même des décennies, que la formation a réussi autant de succès. Vous devez revenir dans les années 1980 pour retracer un club roulant avec un train infernal comme l'édition actuelle des Bruins. La troupe de Patrice Bergeron affiche un dossier exceptionnel de 37-5-4 en 46 matchs pour 78 points. Nous pourrions jouer avec des chiffres de toutes les manières pour exposer leur domination, mais n'allons qu'avec deux observations. -Le Canadien a déjà récolté 24 défaites. C'est presque cinq fois plus que les Bruins dans la moitié de la saison. - Les Bruins peuvent toujours espérer vaincre le record huit minuscules défaites de l'édition 1976-1977 The Habs. Les partisans de Bleu-Blanc-Rouge peuvent se consoler en disant que leur équipe ne rencontrera que le fer avec les Bruins cette saison, mais c'est dommage pour la rivalité. Donc, si la victoire contre les Maple Leafs de Toronto était incroyable, un triomphe contre Boston, qui n'a subi que quatre revers sur les patinoires adverses, serait encore plus surprenante. "Lorsque vous les regardez jouer, vous voyez cinq cerveaux sur la glace, mais c'est comme s'ils étaient connectés au même système", a déclaré Martin St-Louis, esquissant un sourire. Comme l'entraîneur l'a souligné, ils sont donc prévisibles pour leurs coéquipiers, mais imprévisibles pour leurs adversaires. "C'est un groupe qui joue ensemble depuis assez longtemps. Quand un nouveau joueur arrive, il prend ce qu'il fait.Louis qui avait utilisé cette référence pour parler du projet de construction avec son club. "C'est formidable ce qu'ils font, nous allons essayer de mettre des bâtons sur leurs roues", a-t-il ajouté. Il faut admettre qu'il faudra plus qu'un bâton de hockey pour ralentir cette locomotive dirigée par Patrice Bergeron. "Cela part avec lui, mais il n'est pas le seul leader. Il y en a plusieurs pour exercer un leadership, cela crée de nombreuses racines.avec Bergeron aux Jeux olympiques de 2014 et au match Star. "C'est un bel exemple en tant que joueur et en tant qu'humain, je ne suis pas surpris par sa carrière", a noté St-Louis qui ne voulait pas faire semblant de le connaître de près. Le parallèle n'est pas nouveau, mais si Nick Suzuki parvient à prendre la même route que Bergeron, ce sera absolument merveilleux pour l'organisation de Ch. Toujours très jeune, à seulement 23 ans, Suzuki traversera une autre étape son développement jusqu'à la fin de la saison en étant privé son complément idéal, Cole Caufield. «Le truc avec Nick, c'est qu'il joue chaque match contre les meilleurs adversaires. Il évolue également dans un avantage et en infériorité numérique. Pour tout jeune joueur q
