Gabriel Attal, ministre délégué aux Comptes publics, a tenté de convaincre des bonnes intentions de l'exécutif pour négocier sur la réforme des retraites, dans un entretien accordé au Parisien. Le ministre a d'abord assuré que le gouvernement avait conscience des enjeux du projet du gouvernement pour le quotidien des Français, et de l'anxiété qu'il engendrait. Le ministre délégué aux Comptes publics s'est voulu optimiste: "Je crois profondément qu’on n’est pas condamnés au bras de fer".