«Le sentiment que j'ai [...] c'est que la préoccupation actuelle, c'est plus le caddie dans lequel, avec 100 euros, on met de moins en moins de choses, c'est le plein d'essence qui coûte de plus en plus cher», assure Thierry, directeur d'usine à Pontarlier (Doubs), qui relève qu'«il y a aussi une situation d'attente pour savoir à quoi va ressembler cette loi»