« Nos soleils (Alcarràs) » de Carla Simón, nous plonge au sein d’une famille catalane et d’une société de profit qui s’éloigne de plus en plus de la réalité des campagnes. « Roar » de Sura Sol, émeut par sa sobriété et sa simplicité. « Dear Darkening Ground » de Natashia Kelly, fragile comme en équilibre sur un fil. «Babylon» de Damien Chazelle, une éclaration d’amour au 7ème art mais sans pour autant perdre de vue ses excès, sa démesure et ses conséquences.