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Trois signes d'avant Un algorithme d'intelligence artificielle a ensuite analysé les questionnaires, afin d'évaluer si les réponses faites à 14 ans étaient susceptibles de prédire le diagnostic des troubles anxieux quelques années plus tard. Cette analyse a permis d'identifier trois signes prédictifs prédictifs. : "Leur présence à l'adolescence augmente considérablement le risque statistique de troubles anxieux à l'âge adulte". Le névrosisme, tendance persistante à ressentir émotions négatives telles que peur, tristesse, l'embarras colère, accompagnée d'une mauvaise maîtrise impulsions l'inappropriation du stress, est le premier ces facteurs;COMPRIS Le sentiment désespoir, caractérisé par une score faible avec questions évaluant l'optimisme confiance en soi;et enfin symptômes émotionnels tels que tête l'estomac mec, ayant "beaucoup soucis" être souvent inquiets, se sentir "souvent malheureux, abattu en larmes" "nerveux dans nouvelles situations".Un adulte sur cinq Les chercheurs se sont également appuyés sur l'imagerie pour identifier une modification possible du volume de matière grise qui pourrait être prédictif des troubles de l'anxiété futurs. Si les IRM cérébraux n'ont pas amélioré les prédictions des troubles anxieux sur la base uniquement de questionnaires, ils ont cependant permis d'analyser davantageFinement le type de trouble le plus susceptible d'apparaître chez chaque participant. Pour Jean-Luc Martinot, psychiatre d'enfants, directeur recherche chez INSERM co-auteur l'étude ", ces prédicteurs ou les panneaux précédents pourraient permettre détecter les personnes en danger plus tôt leur offrir une intervention adaptée personnalisée, tandis que, tandis queLimiter la progression ces pathologies leurs conséquences sur la vie quotidienne ». Selon les chiffres de la haute autorité pour la santé, 21% des adultes seront affectés par un trouble anxieux au cours de leur vie. Maladies mentales: auto-diagnostic sur les réseaux, "une première étape"