Quelque 500 touristes américains, français, australiens, allemands mais aussi péruviens, se sont retrouvés coincés mardi au pied du site classé au Patrimoine mondial de l'Humanité dans la petite ville de Aguas Calientes (aussi appelée Machu-Picchu village): la ligne de train a été coupée par des manifestants qui protestent contre la destitution et l'incarcération le 7 décembre de l'ancien président Pedro Castillo et demandent de nouvelles élections.