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Canton de Neuchâtel-un ancien entraîneur de football accusé d'abus sexuels dans Boudry que l'accusé avait conduit aux juniors du FC La Chaux-de-Fonds au Charrière entre 2017 et 2020. Trois victimes font partie des plaignants. L'accusé avait une forte emprise sur les jeunes. Keystone / Sandro Campardo Un avocat, qui a dirigé le football juniors de La Chaux-de-Fonds , est jugé par la Cour pénale du Littoral et Val-de-Travevers du lundi à mercredi pour des actes d'ordre sexuel avec des enfants. Trois victimes font partie desplaignants. Les faits se sont produits entre 2017 et 2020, selon l'affaire. L'accusé avait une forte emprise sur les jeunes.des emplois de petit et les a aidés pendant les difficultés académiques. Douche contrainte Le notable avait notamment offert des vêtements et des chaussures de marque à un adolescent de 15 ans, qu'il avait pris pour voir des matchs de football à l'étranger, au cours de laquelle il dormait dans le même lit que lui. Il contrôlait son travail et le punissait en le forçant àse mettre nue. L'accusé l'a également forcé à prendre une douche et à le savon sur tout son corps.Rôle de l'animal dans les animaux en peluche ou les poupées ", mettant sérieusement son développement psychique en danger. Punition et contrôle de l'urine L'accusé avait également un adolescent de 13 ans pendant qu'il dormait. Il avait profité de son statut d'agent, puis entraîneur, puis superviseur de stage, puis maître de l'apprentissage pour lui offrir pour dormir.avait fait entre 20 et 30 voyages en Suisse et à l'étranger avec lui. Selon l'acte d'accusation, l'accusé a puni ses victimes s'ils ne faisaient pas ce qu'il voulait. Un adolescent a reçu entre cinq et 25 gifles ou fessée et a été forcé de travailler ou de dormir nu. Pour s'assurer que ses victimes ne prenaient pas de drogue, l'accuséLes a régulièrement fait passer des contrôles d'urine. L'accusé aurait également tenté d'induire la justice induite en erreur, s'étant assuré qu'une victime s'accuse à tort de lui avoir commis un chantage contre lui. Déjà avant la justice La notable avait déjà fait la une des journaux entre 2012 et 2015 et a été entendu par justice dans une affaire précédente de la même ordonnance. Le tribunal cantonal avait finalement rendu public les dépenses choisies contre l'ancien entraîneur, condamné à huit mois de peine de prison avec sursis en 2017 en 2017, croyant que le doute devrait bénéficier à l'accusé. Le défendeur avait des responsabilités au sein de l'Association du football de la Neuchâtel. L'accusé était également une cheville pour la reconstruction du FC La Chaux-de-Fonde.spécifié qu'il avait été libéré. Les parents des enfants maltraités ont expliqué en décembre 2020 à Arcinfo que le principe de précaution n'avait pas été respecté.
