Les erreurs de la banque du Canada et de Trudeau

2022-12-12 0

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En juillet 2020, le gouverneur de la Banque du Canada l'a déclaré. "Si vous avez une hypothèque, ou si vous envisagez d'effectuer un achat important [...], vous pouvez être convaincu que les tarifs seront faibles pendant longtemps". Les Canadiens ont été informés que, malgré l'incertitude économique liée à la pandémie, vous pouviez aller en paix en paix. Beaucoup leur ont fait confiance. Cela a contribué à une bulle immobilière et à la crise du logement que nous vivons aujourd'hui. Et a donné des arguments à Justin Trudeau, qui n'allait pas passer une occasion de dépenser, pour injecter des sommes d'argent non publiées dans l'économie, par l'aide commerciale et le PCU. Ces programmes étaient certainement nécessaires, mais leur portée est discutable. Deux ans plus tard, la Banque du Canada annonce une septième augmentation de son taux clé. Aujourd'hui, les Canadiens augmentent de ces taux. Cela se traduit aujourd'hui en faillites, en deuxième emploi, détresse, citoyens de l'abeille, ou parfois par imprudence, mais aussi parce qu'ils faisaient confiance au système. L'un des fonctionnaires, que cela nous plaise ou non, est la Banque du Canada. Ce n'est pas la seule banque centrale qui a échoué lors du test de prudence. La Réserve fédérale des États-Unis a également déclaré que l'inflation était "transitoire". La Banque du Canada devrait s'excuser pour ses erreurs, car le gouverneur de la Banque centrale australienne l'a fait. Cela a suscité de la dette et une injection sans précédent d'argent public dans l'économie, ce qui se retourne aujourd'hui contre les citoyens qui subissent de mauvaises décisions. Le politicien Politiquement, autant Jagmeet Singh et Pierre Hairy critiquent désormais ouvertement la Banque du Canada.PQ PSPP l'a également blâmé. Certains croient que c'est un jeu dangereux que la politique mélange les banques centrales, qui doivent rester indépendantes. C'est vrai. Sauf que la Banque du Canada est une institution qui n'est pas surtout la critique. Quand nous l'écoutons, elle donne l'impression du banquier dans sa tour d'ivoire, pour essayer, en tant que rhume scientifique, de restaurer l'inflation de 2%, sans s'inquiétersur les effets que son remède à cheval crée dans les sautés. De toute évidence, là où il y a de la frustration disponible, il y a de la politique. C'est le gouvernement Trudeau qui porte le blâme aujourd'hui - en partie mérité par sa tendance à ne pas regarder les dépenses. Une enquête légère démontre clairement ce marché du gouvernement fédéral déverrouillé: 64% des Canadiens jugent que le gouvernement Trudeau n'a pas pris les mesures appropriées pour faire face à l'inflation. Les Canadiens blâment également grandement leur gouvernement provincial. Une seule exception: ici à Québec.Le gouvernement Legault est le moins critiqué, parmi toutes les provinces, pour sa gestion de l'inflation. Son boucli

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