Une fois de plus Bernard GICK explore une autre approche graphique de son monde. Il tourne volontairement une page importante de sa creation, mais ne semble rien sacrifier de l’essentiel qui est et demeure le Bonheur de peindre, de créer. Il nous entraine donc dans un univers qu’il connait, qu’il fréquente, mais qui reste assez nouveau pour le spectateur.