Le dispositif a commencé à être utilisé là où 450 corps ont été retrouvés en septembre dernier, enterrés sommairement dans une forêt située en périphérie. Il y a eu l’horreur de l’instant, celle de la découverte de plusieurs centaines de corps, dont ceux d’enfants et de victimes présentant des traces de torture. Et puis celle de l’après, face à l’incapacité pour les familles de pouvoir identifier un proche abattu.