Le journaliste Mattéo Ghisalberti explique que malgré le lien politique qui tient de l’évolution du parti qu’elle préside, elle n’incarne pas les valeurs du fascisme de Mussolini : «En Italie il y a eu le fascisme, il y a eu un parti qui a récolté cet héritage qui s’appelait le Mouvement social italien, il a évolué en Alliance nationale et on est arrivé à Fratelli d’Italia, mais aujourd’hui Georgia Meloni se défend d’incarner les valeurs du fascisme de Mussolini»