L'Assemblée générale de l'ONU s'ouvre sur fond de crise internationale.
Après deux années de pandémie, les 150 chefs des états membres de l'ONU se réunissent dès ce 20 septembre pour leur Assemblée générale.
Habituellement prononcé par le Président des Etats-Unis, absent pour les obsèques d'Elizabeth II, le discours d'ouverture a été pris en charge par le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
Conflits et catastrophes climatiques, méfiance et division, pauvreté, inégalité et discrimination. Nous nous réunissons à un moment de grand péril pour le monde, Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU.
Focalisés sur le conflit en Ukraine, les pays occidentaux ont été rappelés à l'ordre par plusieurs dirigeants
de pays du sud.
La Première ministre de la Barbade a souhaité indiquer que les actions de l'ONU devait profiter à toute la
communauté internationale.
Nous ne voulons pas seulement parler de mettre un terme au conflit en Ukraine, Mia Mottley, Première ministre de la Barbade.
Nous voulons que les conflits prennent fin au Tigré, nous voulons que les conflits prennent fin en Syrie, nous voulons que les conflits prennent fin où qu’ils pointent leur nez
dans le monde, Mia Mottley, Première ministre de la Barbade.
Présent pour ce sommet, le Président iranien Ebrahim Raïssi viendra débattre de l'accord de son pays sur le nucléaire.
Emmanuel Macron avait eu le dirigeant au téléphone la semaine dernière afin de le convaincre d'accepter l'accord proposer par les Européens.
Grands absents de cette réunion, les Présidents russe et chinois Vladimir Poutine et Xi Jinping n'ont pas communiqué les raisons de leur désintéressement