Selon Nathan Devers, le déséquilibre mental d'un assaillant n'empêche pas toujours la motivation idéologique de son acte : «Si quelqu'un commet un meurtre en situation d'abolition du discernement (...) mais qu'il donne une motivation idéologique à son acte (...), ce n'est pas parce qu'il est fou que l'acte ne relève pas de l'islamisme».