Le ministre de l'Intérieur est accusé d'être allé trop vite dans sa communication en annonçant l'interpellation, et l'expulsion à venir, d'un délinquant étranger, pourtant mis hors de cause dans l'affaire des policiers agressés à Lyon. Un cafouillage qui a suscité beaucoup de réactions et les commentaires politiques des oppositions ne se sont pas faits attendre.