C’est dans une petite salle de la ville de Kaboul qu’ils se sont réunis. Les organisateurs, trop effrayés à l’idée d’exposer les participants qui risquent d’être traqués par le gouvernement afghan, ont considérablement réduit la portée de l’événement qui aurait normalement attiré des foules immenses. Ce rare rassemblement public a été organisé par l’association culturelle et sociale Mirman le jeudi 7 juillet. Pour l’occasion, des poétesses ont parlé de la douleur de la perte de leur droit de travailler, d’être éduquées et de l’interdiction de la musique, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.