« Ça peut arriver qu’on ait ses règles à huit ans, à l’école primaire. Imaginez le choc émotionnel, surtout si on n’est pas préparée. Je veux éviter ce genre de désagrément à des petites filles », explique Barbara Caillibotte, mère d’une petite fille de 10 ans, réglée, et représentante de parents d’élèves dans le XVe arrondissement qui se bat pour que soit levé le tabou des règles chez les petites filles et qu’elles soient prises en charge.