«On a renoncé à transmettre par démagogie(…)les élèves peuvent apprendre pour peu qu’on leur en donne le goût. On est en train d’abêtir et peut-être même de créer une société violente parce que quand on a un vocabulaire trop pauvre, on est pas capable de régler ses problèmes en les verbalisant et on recourt à la violence» analyse Alexandre Devecchio, rédacteur en chef adjoint Le Figaro