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#mele
Didier reynders commissaire européen à la justice était l'invitée de pascal vrai beau après le rtl info 13 heures ce dimanche les débats se sont portés sur le conflit en ukraine et pour didier reynders il faut garder le dialogue ouvert avec la russie de poutine pour cesser le feu il faut avoir autour de la table ce qui tire depuis le début de la guerre nombre d'observateurs craignent que le conflit prenne une tournure nucléaire alors comment réagir et l'otan en cas d'utilisation d'armes nucléaires tactiques pour rappel ce type d'armes avait déjà été utilisé à hiroshima et à nagasaki on ne peut jamais exclure l'utilisation de tel ou tel type d'armes la seule chose et que la réaction doit être à la hauteur un moment donné il faut être encore plus fort dans les réactions que ce soit dans les sanctions économiques ou dans la présence militaire le commissaire a mis l'accent sur le soutien militaire apporté par l'union européenne à l'ukraine il y a une vraie volonté d'arrêter cette guerre en soutenant militairement l'ukraine le refrain revient inlassablement depuis le début de la guerre dès le 27 février en réponse aux premières sanctions occidentales vladimir poutine avait ordonné de mettre les forces de dissuasion de l'armée russe en régime spécial d' alerte au combat une manière à peine voilée de promettre des représailles nucléaires à ceux qui interférerait dans le conflit avec l'ukraine depuis le chef du kremlin n'hésite pas à brandir cette menace suprême sans jamais la nommer mercredi devant les députés rassemblés à saint pétersbourg il a de nouveau évoqué une frappe de réponse rapide si un pays venaient s'ingérer dans les événements nous avons pour cela des instruments que personne n'a aujourd'hui et nous utiliserons ces outils si c'est nécessaire je souhaite que tout le monde le sache a insisté le dirigeant la première fois était en 2004 lorsque les russes ont fait venir chez eux un certain nombre d'experts internationaux sur la russie c'était juste après la prise d'otages de beslan qui avait causé de nombreuses victimes poutine étaient à vif mais il a quand même passé trois heures avec nous à répondre à nos questions tout en étant très en colère à cause de l'attentât et de la réaction occidentale qui ne jugeait pas à la hauteur selon lui l
