L’essayiste Noémie Halioua explique que lors de l’arrivée des premières générations d’immigrés en France, il y avait un certain vivre-ensemble qui existait avec une forme de partage qui n’existe plus aujourd’hui : «Le vivre-ensemble est un mot valise, mais il y a eu une coexistence pacifique entre les communautés, une mixité culturelle, et c’était déjà une victoire par rapport à aujourd’hui».