Depuis début mars, la préfecture de l’Isère reçoit entre 30 à 50 déplacés ukrainiens par jour. Plus de 1500 depuis le début du conflit qui bénéficient d’un dispositif de protection temporaire, qui leur permet notamment d’être logés pour quelques jours dès leur arrivée. La ville de Grenoble met par exemple à disposition le local de la Petite pause