Le journaliste du Figaro, Ivan Rioufol, au sujet des violences survenues lors des manifestations du 1er mai : «Il y a aussi une sorte de passivité au coeur de ces défilés là [...] Une passivité générale de la foule. Je fais procès d'une forme de connivence qui permet ce genre de manifestations violentes et qui sont parfois le prolongement et le surlignage de ce que défendent ces manifestants».