Le journaliste d’Europe 1 explique que le vote Marine Le Pen a été plébiscité au second tour de l’élection présidentielle en raison du rejet du président Macron, et en raison de la réussite de la stratégie de dédiabolisation dans ces territoires, il explique également que les interdictions morales dictées par les élites y sont moins présentes ou moins respectées : «La dédiabolisation fonctionne très bien aux Antilles, il y a également la question des élites, qui forment l’opinion et qui créent une interdiction morale de voter pour Marine Le Pen, qui n’a pas fonctionné dans ces territoires».