Elles étaient une cinquantaine sous les fenêtres du ministère de la Santé à Paris. Alors que jeudi 14 décembre se réunissait pour la première fois le comité de suivi dans l’affaire des implants mammaires PIP, des femmes porteuses de ces prothèses défectueuses s’étaient réunies pour crier leur colère. Elles réclament notamment une prise en charge par l’Etat des opérations pour se faire enlever les implants.