Émue aux larmes.
Hier à Washington, Angelina Jolie a exhorté le Congrès américain à voter de toute urgence une nouvelle loi pour protéger les femmes victimes de violences domestiques, qui se sont « normalisées » dans son pays, s’indigne-t-elle, et les enfants exposés à ces scènes. Le texte amendé qu’elle a présenté permettra, s’il est adopté, de fournir une assistance médicale et juridique aux victimes, ainsi qu’une aide aux enfants témoins.
Bouleversée tout au long de son discours, Angelina Jolie a dû s’arrêter un instant, avant de poursuivre, la gorge nouée : « Je pense aux enfants qui sont terrorisés et qui souffrent en ce moment, et aux nombreuses personnes pour qui cette loi arrive trop tard ».
La femme de 46 ans accuse son ancien époux, Brad Pitt, de violences domestiques, et notamment d’avoir frappé intentionnellement leur fils Maddox, âgé de 15 ans à l’époque, en 2016. Le comédien a été blanchi dans cette affaire.
Plus que jamais, Angelina Jolie, que l’on sait profondément engagée, tient à soutenir les causes qui lui sont chères. Il y a quelques jours, elle s’exprimait devant le Parlement européen pour défendre les droits des femmes afghanes.
