La candidate républicaine Valérie Pécresse chute encore (15,5%), tandis que l'écologiste Yannick Jadot passe sous la barre des 5%, avec...
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La candidate républicaine Valérie Pécresse a encore chuté (15,5 %), tandis que l'écologiste Yannick Jadot était sous les 5 %, à égalité avec Christiane Taubira. Emmanuel Macron mène toujours notre enquête quotidienne Ifop-Fiducial pour Paris Match, LCI et Sud-Radio.
hors service. Dans notre sondage quotidien #LaPrésidetielleEnTempsRéel, Valérie Pécresse a chuté d'un demi-point à 15,5%, le niveau le plus bas. Le candidat LR est désormais suivi par Eric Zemmour, qui progresse (14%, +0,5), tandis que Marine Le Pen est deuxième avec 18%.
Le patron de la région Ile-de-France prend sans doute de faux appartements. Si aucune erreur n'a été commise, la candidate n'a pas imprimé comme elle l'avait espéré. Ses conseils sur les écoles, l'énergie nucléaire et la santé n'ont pas reçu suffisamment d'attention. Sa campagne est éclipsée par la guerre entre Le Pen et le clan Zemour et par les événements du rassemblement Marion Maréchal.
Circonscription déchirée de Felon
Soixante-six jours avant le premier tour, les trois candidats à la deuxième place étaient indécis. Le choix des électeurs filillonnistes sera déterminant : un quart d'entre eux se disent actuellement prêts à voter pour Emmanuel Macron, et 16 % se disent prêts à voter pour Eric Zemmour. Valérie Pécresse ne facture que 52%. Dans le même temps, des doutes ont commencé à surgir. Dans Le Figaro, l'ancienne ministre Racida Dati a tiré la sonnette d'alarme jeudi et demandé aux candidats "d'ouvrir la deuxième phase de la campagne".
A gauche, Yannick Jadot commence à montrer des signes de faiblesse. L'intention de vote des écologistes chute à 4,5 %, se retrouvant à égalité avec Christiane Taubira, tandis que Jean-Luc Mélenchon atteint 10 %. L'ancien ministre de François Hollande, qui n'a pas vraiment profité des élections populaires, n'a pas avancé, mais a profité du recul de son régime rival EELV.
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