"Nous attendons qu'ils ouvrent de nouveau les frontières pour pouvoir revivre."
Amine est artisan à Marrakech où il vit de sa poterie. À cause de la crise sanitaire et des fermetures successives des frontières, il a perdu 70% de ses revenus. En cette période de fin d'année, aucun touriste étranger n'a visité son atelier.