Grégory Joron, secrétaire général unité SGP, tente d’expliquer les tensions existantes dans certains quartiers de Lyon et Marseille : «C’est peut-être une réaction due au fait que «les plans stup’» sont gênés et que de facto, la réaction soit celle que l’on voit. Ce sont des gamins qui se lèvent à 11 heures et qui fument des pétards et ça ne rend pas intelligent. On a des jeunes qui ont 300 mots de vocabulaire et rapidement l’expression devient violente. Ils n’ont pas du tout les mêmes codes que les personnes avec un développement normal à 14 ou 15 ans».