Rebecca Clarke, compositrice et altiste britannique, a rencontré le succès sous son nom... mais aussi avec des noms d'emprunt. En 1918, par modestie - parce que son nom apparaît un peu trop sur le programme - la compositrice décide d’utiliser un pseudonyme masculin pour présenter sa dernière pièce. Un stratagème qu'elle réutilise quelques années plus tard.
Ecoutez la chronique d'Aliette de Laleu : https://bit.ly/3HtPon6
Ecoutez la sonate pour alto et piano de Rebecca Clarke : https://www.youtube.com/watch?v=oWpYa33AiP4
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