Maxime Le Forestier : "Brassens, c'est 170 chansons parfaites, il n'y a rien à jeter"

2021-08-06 83

À l'occasion du centenaire de Georges Brassens (1921-1981), Jeanne Corporon, adjointe au maire de Sète chargée du Centenaire Georges Brassens ; Maxime Le Forestier, auteur-compositeur-interprète, auteur de "Brassens et moi" (éd. Stock) ; et Demi Portion, rappeur, sont les invités du Grand entretien.
Retrouvez tous les entretiens de 8h20 sur https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite

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Maxime Le Forestier : "Nous sommes tous des héritiers musicaux de Brassens (...), il est une borne fondamentale dans l'histoire de la chanson française. Mon Brassens à moi, c'est une oeuvre, ce sont 171 chansons parfaites, il n'y a rien à jeter."

Maxime Le Forestier : "Brassens ne réagissait jamais à quelque chose de précis, ses chansons visaient plutôt des institutions, des situations... je ne le vois pas écrire quelque chose sur le pass sanitaire !"

Maxime Le Forestier : "La musicalité de Brassens, c'est une grande science de l'harmonie. Avec juste sa guitare et une contrebasse, il n'avait pas la palette musicale d'un Trenet ou d'un Montand, il a dû trouver l'originalité par la mélodie et l'harmonie"

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Jeanne Corporon : "Brassens était quelqu'un de très simple, de très authentique, de modeste, et surtout avec un esprit de convivialité, de gentillesse et de bienveillance. Ce n'était pas du tout un ours, comme on a semblé le dire au début de sa carrière."

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Jeanne Corporon : "A Sète, la culture c'est notre nature, Brassens ne peut être oublié dans le paysage culturel sétois. Je suis fière de porter ce centenaire."

Demi-Portion : "Pour moi, Brassens c'était le premier rappeur. Vu les instruments qu'il utilisait, ça laissait beaucoup de place aux paroles."

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