D'après plusieurs associations d'aide aux victimes, un tiers des dossiers de violence conjugale ne seraient pas suivis d'enquête de police. Plus de la moitié des plaignantes rentrent chez elles, après avoir été agresses par leur conjoint. Le féminicide de Mérignac est un double révélateur des problèmes judiciaires, de suivi des agresseurs et de protection des victimes.