En Birmanie, les violences envers les manifestants anti-coup d'État ont été condamnées à l’unanimité par les 15 états membres du conseil de sécurité de l'ONU, donc y compris par la Chine et la Russie, mais la junte birmane ne cède rien. Aung San Suu Kyi est accusée d'avoir reçu des ports-de-vin.